La maison sans souvenirs de Donato CARRISI aux éditions « LE LIVRE DE POCHE »

Aujourd’hui, je vous propose un thriller haletant avec « La maison sans souvenirs » de Donato CARRISI aux éditions « Le Livre de poche ».

Quatrième de couverture. Les faits évoqués dans le rapport de la police locale semblent anodins : deux promeneurs ont découvert une voiture abandonnée dans les bois en Toscane, le pneu arrière crevé et les portières ouvertes. Mais des détails interpellent les forces de l’ordre : les traces d’une tentative de fuite et les effets personnels d’une mère et de son fils, disparus depuis des mois. Lorsque l’adolescent réapparaît seul dans la vallée de l’Enfer, il se déclare l’auteur d’un crime effroyable.

Pourtant, l’hypnotiseur florentin Pietro Gerber, appelé à l’aide sur cette enquête, soupçonne que quelque chose d’autre, plus sinistre encore, est à l’origine du mal. Dès lors, les événements macabres se multiplient et Gerber se retrouve piégé dans une énigme meurtrière où sa vie et celle du garçon seront gravement menacées.

Mon avis. C’est le deuxième roman de l’auteur que je lis et que je vous présente. En effet, en août j’avais parlé du roman « La maison des voix ». Ce roman en est d’ailleurs la suite. Encore une fois, je n’ai pas du tout été déçue, bien au contraire. J’ai trouvé cette plongée dans le monde de l’hypnose très intéressante et l’histoire est extrêmement bien construite. A la fin, nous ne savons plus ce que nous devons croire ou non. C’est un peu un roman à la « Inception » si vous connaissez ce film avec Léonardo DiCaprio.

C’est également avec grand plaisir que j’ai retrouvé le personnage de Pietro. C’est un personnage que j’aime bien. En effet, il est très intelligent et il fait preuve de beaucoup d’empathie envers ses patients. En plus de cette nouvelle enquête, il doit également gérer les conséquences de sa dernière affaire sur sa vie tant professionnelle que personnelle.

En conclusion, c’est un très bon thriller. J’hésite d’ailleurs à acheter la suite qui est encore en grand format.

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