Aujourd’hui, je vous propose de découvrir un roman policier très explosif et au rythme haletant. Il s’agit du roman « Le bal des ardentes » de Ghislain GILBERTI aux éditions POCKET.
Quatrième de couverture. Le commissaire Ange-Marie Barthélemy, spécialiste de l’antiterrorisme, est envoyé sur les lieux d’une explosion au cœur de la cité phocéenne. Plusieurs indices laissent à penser que cet attentat non revendiqué est lié au trafic de drogue. Avec son équipe, il s’immerge alors dans le milieu du crime organisé marseillais.
Ils vont rapidement constater que le poseur de bombe n’en est pas à son coup d’essai. Ayant sévi sur tous les continents, il présente le profil d’un tueur en série plutôt que celui d’un terroriste : mode opératoire scrupuleux, signature, monomanie… Un parcours sanglant qui en dit long sur un dangereux psychopathe. La traque s’organise. Une plongée sans concession dans un esprit tortueux, avide de destruction et d’anéantissement, qui obligera Barthélemy à se confronter à ses propres démons.
Mon avis. J’ai découvert cet auteur en 2027 avec la trilogie des ombres que j’avais bien aimé. J’ai vu passer ce roman « le bal des ardentes » sur Instagram et je me suis laissée tenter car je n’avais pas lu de romans de cet auteur depuis assez longtemps.
J’ai bien aimé ma lecture même si ce n’est pas un coup de coeur. Je suis rentrée dans l’histoire très rapidement et le style de l’auteur est fluide et facile à lire. Nous sentons que ce roman est très documenté et proche de la réalité. Les événements s’enchaînent et le rythme est haletant. L’histoire est bien construite et j’ai aimé suivre l’équipe policière mais aussi le suspect. L’alternance des points de vue est captivante et l’accès aux pensées du suspect est prenant.
Le seul petit bémol qui est très récurrent dans les romans policiers et que je remarque à chaque fois concerne le caractère torturé des personnages. En effet, ce roman n’y échappe pas et évidemment le personnage de Marie-Ange est torturé, il a vécu des événements traumatisants et il est à fleur de peau.
En conclusion, c’est une bonne lecture.

